• J'ais rencontré le roi mage , sur ces chemin sans fins

    Accompagné de son rat mage , entre ces tombes aux croix de papiers 

    Choisissez la votre ,et mettez , s'il vous en fait plaisir,

    du thym ou une couronne de laurier.

    Bien au-loin , les soldats , d'un dieux de l'imaginaire, 

    Fous de ce dieux , jouent à ce faire la guerre 

    La-bas , ici ou là assis sur leur derrière..

    Et dans la salle-à- manger , où est servi le grand festin

    Les têtes couronnées boivent à grandes rasades le sang des victimes

    Dans ce cloaque de feux de la nuit des temps 

    Les chevaliers de fer aux armures d’étincelles , traverses les champs

    Les yeux vident de lumières

    Juste de passage sur terre...

    Il n'est plus de cortèges comme aux temps anciens

    Le vivant ce veut un nouveau monde qu'il mène vers l'apocalypse , croyant en un demain

    Choisi ton chemin , quel qu'il soit il te mènera à ton destin

    Mais désigne ta place pour creuser ton trou 

    Les chevaliers de feux on lancer leurs montures

    Dans les nébuleuses du temps sans aventures ,

    S'élève alors la poussière sous leurs sabots et roulent les cailloux

    Le roi mage a ouvert les rideaux de l'immensité sidérale

    Le rat mage se laisse aspiré dans ce vide abyssal

    Dans le trou de l'inconnu , dans un maelstrom 

    incontrôlable

    La fin de l'humanité disparaît sans traces , aucunes même pitoyable...

     

    Le Colporteur §§§© 

     

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Comme ça !...

    Oui je l'ais vue comme ça

    comme un arbre abattu , inerte.

    Dans ses yeux ! ...

    Plus rien ; le feuillage de la vie avait effasser ses couleurs

    Je voyais devant moi tout ce en quoi j'avais crus 

    Tout ce quelle avait construit dans mes yeux, mon cœur

    Et tout cela , comme le mur d'un mauvais maçon venait de s'écrouler de s'anéantir... 

    Le mensonge avait été toute ma vie , l'engrais ,

    quelle me voulait tant beau et fort...

    Et là devant mes yeux devant moi ce trouvait

    la plus belle artiste du monde

    La plus merveilleuse des créatures que la nature ait pu imaginer...

    Soit ; le tableau venait de se déchirer

    Me laissant voir l'horreur de la vie...

    Elle avait , dans ses yeux , perdue la verdure de se beau feuillage d'Amour

    Bien des couleurs en mon cœur ce sont fanées

    Mais pour mes descendants je referais les mélanges

    Pour ne leurs montrer que les beaux feuillages que toi

    Maman , à su peindre dans mes yeux...

     

    Je t'ais vue comme ça et te voir comme ça

    En moi quelque chose c'est brisé... Maman 

     

    Le Colporteur §§§©

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Comme ça ; un matin tu te réveille serein

    Et comme lui tu fredonne un refrain...;

     Pourtant le gendarme te verbalise !

    Et toi avec lui tu  ferais des vocalies

    A qui fait la manche

    Dans ton pain tu lui fais une tranche !...

    Comme ça un matin , les bouchons vers ton travail

    Ont l'air château de Versailles...

    Les trains de banlieues découpent les citées

    Aujourd'hui toi , tu fredonne dans l’air frais !..

    Comme ça un matin tu te réveille serein...!!

     

    Il te menace son couteau à la main !

    Tu lui donne ton «ail-phone » fredonnant un refrain

    Il est fou ! s'étonnent les badauds , ahuries 

    Aux diables les problèmes efface tes soucies 

    D'un « souriez vous êtes filmés » , le pas averti 

    Tu tourne le dos à cette "prison" qui te détruit  ;

    Guéris de toutes blessures , et serein 

    Tu repars vers demain , leurs laissant ton refrain...

     

    Au bout du quai arrive ton train ; ton destin...

    Tu vas a sa rencontre , rieur !

    La vie t'a fait une fleur...

     

    RESTE SEREIN yes

     

    Baladin © Ami du Colporteur © §§§

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • J'étais un écris vain ,

    Du silence des mots

    Chantait l'image des phrases  

    Prélude à un tableau sur la toile d'un maître

    En musicien des lettres 

    Après accords des participes 

    Les mots comme une douce mélodie

    S'inscrivent sur le papier 

    Dans les yeux des mélomanes lecteurs

     

    Le Colporteur © §§§

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Au clair de la lune , redis-moi les mots

    Ceux qui , aux sons  de ta voix , vibrent dans l'air

    Dans nos cœurs et nos horizons

    Dis-moi encore ces mots qui résonnent comme une douce mélodie

    Quand le froid du silence se fait sinistre

    Dis-moi sous son ciel étoilée dis-moi les mots

    Parle à mes oreilles sourdent , à ma tête vide de tout ses mots que j'Aimais

    Redis-nous les mots qui vibrent dans nos têtes

    Vibrations d'Amour et de paix

    Redis-moi les mots que j'Aimais à écrire

    Et qui, à ma plume , se font silences ;

    L'encre à séchée au font de l'encrier

    Les lignes du cahier s'en sont allées fautes de notes à accrocher

    Redis-moi les mots qui font rêver

    Redis-moi ces mots là , ou mon cahier dans un sanglot va se refermer...à tout jamais...

     

        L Colporteur §§§©

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique