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BROUILLONS
L'aube point
Sa clarté caresse mes paupières
Douce comme le baiser de tes lèvres
Sa lumière un bout de velours
Tel une bougie vacillante au passage d'un esprit
A
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Par lecolporteurdesmots le 1 Août 2019 à 10:56
J"étais pour l'écriture
Je dois l'avoué pas très doué ;
Aux couleurs mordorées des confitures,
Les tartines , aux petits déjeuner
Me semblaient au premier abords destinées .
Puis la plume, l'encrier, la feuille de papier
Ont pris place sur le bureau
L'orthographe et toutes ses fautes, ses règles
Strictes , bizarres aux terminaisons parfois espiègles
Ses lettres , aux silhouettes gracieuses
Aux prononciation théâtrales et majestueuses...
Tout cela me fut bien longtemps pénible tâche
A laquelle j’œuvrais sans relâches
Le peu qui pris racines au fond de moi
je le partageais en dessinant les mots d'Amour
Dan les lettres d'Amoureux séparés par les distances
Les mots qu'ils ne savaient dessiner ou pire encore
Qu'ils ne savaient pas lires , ni écrire...
Le peu que j'avais appris je le partageais sans frontières
Le plaisir de dessiner des lettres pour effacer les distances... partager les sentiments
Et se faire rejoindre des coeur n'avait d'égal que le sourire des Amoureux, d'entendre chanter leurs sentiments
Ce fut une période merveilleuse
Le Colporteur §§§©
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Par lecolporteurdesmots le 25 Mai 2019 à 23:18
De temps en temps me vient le sentiment
De n'avoir, dans un rêve , même fou,
D'avoir justement ce sentiment bien fou
D'être passé à coté de cet arc-en-ciel,
Celui qui traverse le ciel quand les nuages ont pleurés...
Alors je laisse le grand mage
Et son arlequin accoster le rivage
Où la neige laisse des pas sur le sable
Lorsque le soleil , croise la lune , aimable...
Je traverse hagard la grande forêt de mannequin
Où derrière chacun d'eux se cache un requin
Alors dans la grand'rue du village défile la troupe des loups
Tenues en laisse par les mendiants fous...
Est-ce un cauchemar tout cela ou le fruit de ma folie
Mon corps à ce point est'il affaiblie...
De ce pas je m'en retourne en ce monde
Où le brouillard rend l'hypocrisie blanc comme neige
Et l'homme lui rend triste hommage avec ses arpèges...
Ce sentiment de n'avoir pas vue cet arc-en-ciel
Pourtant les nuages ont ouvert le bleu du ciel
Le Colporteur §§§©
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Par lecolporteurdesmots le 31 Juillet 2018 à 23:23
Sur le sable de la nuit j'ais gravé je t'aime
Puis la vague du sommeil , alangui sur ses grains ,
Est venue l'effacé .
Quand elle ce fut retirée ,
Pour te rêver , elle m'à laisser ton visage
Ton corps comme un embrun viens rafraîchir
La moiteur de l'air ambiant.
La plage borde la nuit et allume les étoiles de mers
Gardant à distance les tourments,
Les ombres noires des cauchemars jaloux...
Sur le sable de la nuit
J'ais dessiné des corps enlacés
Où les lèvres , dans un coquillage , murmuraient
Je 'Aime...
Et le chant des sirènes reprenait ce murmure
A la surface des océans....
Le Colporteur §§§©
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Par lecolporteurdesmots le 26 Janvier 2018 à 22:36
Sur les chemins de la nuit
Mes pas allaient sans bruits
Les arbres s'égouttaient
L'averse était passée
Pas une trace de lumière
Le ciel même était invisible ;
Alors j'ais levé les bras ,
Et attrapant un bouton, je le dégrafais ;
J'ais ouvert la nuit
Dégrafant un à un les nuages ;
Apparurent alors des lucioles étoilées,
Dans la lueur bleutée de la lune...
Dans l'échancrure de cette nuit d'hiver
Un courant d'air froid s'engouffra
Faisant frissonner les arbres et mon corps.
D'un geste frileux je relevais mon col de manteau
Et dans le bleu noir de la nuit
Sous la silhouette des arbres je refermais le chemin...
Dans un dernier regard au décolleté de la nuit
Je refermais la porte de ma chaudière sur la froide soirée ;
Et dans un lit aux draps de brume
Dans le souffle des anges je sombrais aux abîmes des rêves...
Le Colporteur §§§©
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Par lecolporteurdesmots le 23 Janvier 2018 à 09:26
Le brouillard arrive à son tour
Croyant cacher cette triste peinture,
Ce tableau aux nuages tourmentés
Ou la seule couleur est le gris, gris et encore gris...
Seule les nuances de ce gris donne des couleurs
A ce triste tableau...
Le paysage avec le talent du peintre à une vie
Le relief que l'artiste lui donne...
La beauté se trouve dans cette vie ces mouvements ,
De l'eau qui courre aux bords des routes dans les fossés ,
Dans les champs qui régurgitent toute cette eau
Que la terre e veut plus ingurgitée , absorbée
Ces cours d'eaux aux eaux tourmentée tumultueuses boueuses
Devenues incontrôlable , furieux vrombissants des vagues
Dragons que même Neptune ne reconnait pas comme siens ...
Et le ciel en grands pleurs reviens à la charge,
Déversant de nouvelles rasades de pluie
Tel l'ivrogne en quête d'une taverne pour ces beuveries
Et nous pauvres humains impuissants à ces éléments
Nettoyants à petits sceaux les vomissures
Nous pestons vers des dieux aussi présents Que des promesses électorales
...Admirons sereinement la beauté de cette oeuvre
De cet artiste qu'est la nature pouvant peindre
Autant des scènes bucoliques ;;
Que des scènes apocalyptiques...
Bravo l'artiste ; devant ton tableau l'ont ne peut que pleurer :
Pleurer de bonheur ou pleurer de désespoir...
Le Colporteur §§§©
(orthographe à corriger... )
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