• BROUILLONS

    L'aube point 

    Sa clarté caresse mes paupières

    Douce comme le baiser de tes lèvres

    Sa lumière un bout de velours

    Tel une  bougie vacillante au passage d'un esprit

    A

  • J"étais pour l'écriture

    Je dois l'avoué pas très doué ;

    Aux couleurs mordorées des confitures,

    Les tartines , aux petits déjeuner 

    Me semblaient au premier abords destinées .

    Puis la plume, l'encrier, la feuille de papier

    Ont pris place sur le bureau

    L'orthographe et toutes ses fautes, ses règles

    Strictes , bizarres aux terminaisons parfois espiègles

    Ses lettres , aux silhouettes gracieuses 

    Aux prononciation théâtrales et majestueuses...

    Tout cela me fut bien longtemps pénible tâche

    A laquelle  j’œuvrais sans relâches

    Le peu qui pris racines au fond de moi

    je le partageais en dessinant les mots d'Amour 

    Dan les lettres d'Amoureux séparés par les distances

    Les mots qu'ils ne savaient dessiner ou pire encore

    Qu'ils ne savaient pas lires , ni écrire...

    Le peu que j'avais  appris je le partageais sans frontières

    Le plaisir de dessiner des lettres pour effacer les distances... partager les sentiments

     Et se faire rejoindre des coeur n'avait d'égal que le sourire des Amoureux, d'entendre chanter leurs sentiments

    Ce fut une période merveilleuse 

     

    Le Colporteur §§§©

     

     

     

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  • De temps en temps me vient le sentiment

    De n'avoir, dans un rêve , même fou,

    D'avoir justement ce sentiment bien fou

    D'être passé à coté de cet arc-en-ciel,

    Celui qui traverse le ciel quand les nuages ont pleurés...

    Alors je laisse le grand mage

    Et son arlequin accoster le rivage

    Où la neige laisse des pas sur le sable

    Lorsque le soleil , croise la lune , aimable...

    Je traverse hagard la grande forêt de mannequin

    Où derrière chacun d'eux se cache un requin

    Alors dans la grand'rue du village défile la troupe des loups

    Tenues en laisse par les mendiants fous...

    Est-ce un cauchemar tout cela ou le fruit de ma folie

    Mon corps à ce point est'il affaiblie...

    De ce pas je m'en retourne en ce monde 

    Où le brouillard rend l'hypocrisie blanc comme neige

    Et l'homme lui rend triste hommage avec ses arpèges...

     

    Ce sentiment de n'avoir pas vue cet arc-en-ciel

    Pourtant les nuages ont ouvert le bleu du ciel

     

     

    Le Colporteur §§§©

     

     

     

     

     

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  • Sur le sable de la nuit j'ais gravé  je t'aime

    Puis la vague du sommeil , alangui  sur ses grains ,

    Est venue l'effacé .

    Quand elle ce fut retirée , 

    Pour te rêver , elle m'à laisser ton visage

    Ton corps comme un embrun viens rafraîchir

    La moiteur de l'air ambiant.

    La plage borde la nuit et allume les étoiles de mers

    Gardant à distance les tourments,

    Les ombres noires des cauchemars jaloux...

    Sur le sable de la nuit 

    J'ais dessiné des corps enlacés 

    Où les lèvres , dans un coquillage , murmuraient

    Je 'Aime...

    Et le chant des sirènes reprenait ce murmure

    A la surface des océans....

     

       Le Colporteur §§§©

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  • Sur les chemins de la nuit 

    Mes pas allaient sans bruits

    Les arbres s'égouttaient

    L'averse était passée

    Pas une trace de lumière

    Le ciel même était invisible ;

    Alors j'ais levé les bras ,

    Et attrapant un bouton, je le dégrafais ;

    J'ais ouvert la nuit

    Dégrafant un à un les nuages ;

    Apparurent alors des lucioles étoilées,

    Dans la lueur bleutée de la lune...

    Dans l'échancrure de cette nuit d'hiver

    Un courant d'air froid s'engouffra

    Faisant frissonner les arbres et mon corps.

    D'un geste frileux je relevais mon col de manteau 

    Et dans le bleu noir de la nuit

    Sous la silhouette des arbres je refermais le chemin...

    Dans un dernier regard au décolleté de la nuit

    Je refermais la porte de ma chaudière sur la froide soirée ;

    Et dans un lit aux draps de brume

    Dans le souffle des anges je sombrais aux abîmes des rêves...

     

         Le Colporteur §§§©

     

     

     

     

     

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  • Le brouillard arrive à son tour

    Croyant cacher cette triste peinture,

    Ce tableau aux nuages tourmentés

    Ou la seule couleur est le gris, gris et encore gris...

    Seule les nuances de ce gris donne des couleurs 

    A ce triste tableau...

    Le paysage avec le talent du peintre à une  vie

    Le relief que l'artiste lui donne...

    La beauté se trouve dans cette vie ces mouvements ,

    De l'eau qui courre aux bords des routes dans les fossés ,

    Dans les champs qui régurgitent toute cette eau 

    Que la terre e veut plus ingurgitée , absorbée

    Ces cours d'eaux aux eaux tourmentée tumultueuses boueuses

    Devenues incontrôlable , furieux vrombissants des vagues

    Dragons que même Neptune ne reconnait pas comme siens ...

    Et le ciel en grands pleurs reviens à la charge,

    Déversant de nouvelles rasades de pluie

    Tel l'ivrogne en quête d'une taverne pour ces beuveries

    Et nous pauvres humains impuissants à ces éléments

    Nettoyants à petits sceaux les vomissures  

    Nous pestons vers des dieux aussi présents Que des promesses électorales

    ...Admirons sereinement la beauté de cette oeuvre 

    De cet artiste qu'est la nature pouvant peindre

    Autant des scènes bucoliques ;;

    Que des scènes apocalyptiques...

     

    Bravo l'artiste ; devant ton tableau l'ont ne peut que pleurer :

    Pleurer de bonheur ou pleurer de désespoir... 

     

    Le Colporteur §§§©

    (orthographe à corriger... )

     

     

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