• Je pense la vie comme ;

    Une répétition , et le jour de la première

    La censure, fait pièce à l'acteur...

    Est-il mauvais où bien la pièce elle même.

    Je jette les mots comme un paysage 

    Comme une couleur sortie du pinceau, les mots

    M'apparaissent, tels les nouveaux nés

    Et alors je cours vers elle, 

    Vers la grande scène, les projecteurs;

    Le texte est pourtant sur mes lèvres

    Mais la censure !!...! La censure 

    Inculte de sa peur ne lève pas le rideau

    La vie est une répétition

    Chacun joue son rôle son texte

    Mais le jour de la générale , la censure........

     

       Le Colporteur §§§© 

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  • A cette époques là 

    A ce siècle là 

    La fierté était de dire ; « j'y étais »

    A chaque guerres gagnées

    La fierté était de dire ; « j'y étais »

    A chaque époques 

    "Ils" y étaient...

    Les époques ont passées

    Les guerres se sont renouvelées ...!

    En fait rien n'a vraiment changé ?

    Pendant ma vie «j'y étais »!

    A mon époque ;;; j'y étais :

    Dans le monde les guerres étaient toujours là

    Toujours d’actualités  !!!!!....

    J'en conclu , pour ma part 

    Que , dans les époques futures 

    Dans les siècles futurs ,

    Existera toujours tout cela... .

    Et l'humain toujours plus bête qu'animal ,

    dira j'y étais ...§§§

     

                     Le Colporteur §§§©

     

       s'il veut explorer l'univers qu'il lève la tête et non pas son porte-feuille  ((entre autre ou surtout ))

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  •  

    De grandes tentures enveloppes mes pensées

    Un son harmonique semble onduler dans les plis du tissu

    Il résonne en moi sur le chemin de demain

    Me portant comme un ruisseau , vers la vérité

    La vibration envahi mon ego comme si mon sang devenais le son ,

    Mes oreilles n'avaient que ce chant monocorde  en écoute .

    Envoûtant , fascinant il m'absorbait comme un monstre de nulle part ;

    Tout mon être était à son écoute

    Je me laissais porter sur ce chant magnétique

    Cette source sonore entrait en moi en tourbillons reposants 

    Je m'abandonnais à cette abstraction irréelle hors du temps

    Ces  vibrations sonores , sans voix , me donnaient rendez-vous 

    Me portant vers mes souvenirs , images d’hier... 

    Comme en suspension  je me laisse glisser dans ce monde intemporel 

    Sans savoir s'il existe un chemin conventionnel de retour

    Plus d'attaches ne me retiennent en ce monde , je quitte la table

    Et porté par ce son harmonique

    Je glisse irréel , vers les Éthers de l'univers de la nuit... 

     

         Le Colporteur §§§©

     

    (écrit sous le bienveillant regard du Baladin)

     

      

     

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  • abandonné--boite--bruit--oreiller--roseau--voûte--porte--clameur--biscuits--berger nuages de mots Morgane

     

    Comme un nuage il vient de nul part 

    Comme un voyageur sur le quai d'une gare

    Il s'assoit et attend. Il ignore quoi, mais IL attend ...

    Comme un espoir abandonné , laissé de côté,

    Alors de sa poche, comme d'une boite, il sort un biscuit

    Pour tromper le temps de cette attente.

    Au loin monte une clameur, qui doucement enfle

    Distinctement les flonflons prennent formes sous la voûte des étoiles

    Dans le bleu noir, du ciel de nuit

    Tel un berger dans les alpages des songes

    Il voyages entre ses rêves

    Sur sa barque glissant entre les roseaux

    Muraille traversée sans bruit par cette silhouette 

    Comme étouffé par un oreiller, sur lequel sa tête repose

    Comme un nuage dans le ciel; sortit de nulle part

    Comme un rêve sortis d'un songe...

    Je referme la porte de rien derrière moi

    Le train s'ébranle et reprend son voyage

    Je reste sur le quai à attendre ; attendre quoi...

    Je croque mon biscuit

    La vie on la croit vivante, remuante

    Mais n'est-ce pas une éternelle attente

    Où l'on bouge pour faire s'agiter l'attente... ?

     

           Le Colporteur §§§©

     

     

     

     

     

     

     

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  • Le sablier du temps ! t'en rappelle -tu !?

    Oui celui que tu retournais en cuisine , pour cuire l’œuf

    Quand le sable fin du temps était écoulé ; t'en rappelle-tu ?

    Et le sable blanc des plages où pieds nus 

    tu marchais

    Laissant derrière toi leurs empreintes , et que la mer d'une vague effaçait

    Comme pour dans le temps ne laisser aucuns souvenirs .

    Et bien le temps comme la vague efface bien des choses.

    Et bien ce sablier du temps , lui , ne se retourne pas , n'en prend pas le temps

    N'en a pas le temps n'en a pas le sable

    Le temps qui passe ne s'arrête pas  , il n'a pas le temps

    Pas de temps à perdre , pas de temps à consacrer

    Pourtant il a tout le temps pour lui , pour consacrer du temps

    Mais le temps passe et ne s'arrête pas .

    Le temps ...! cette chose indomptable que rien ne peu freiner,

    Que l'homme à voulu fractionner , mais pas arrêter ; ce temps dont on parle ,

    Dont on se souvient que l'on vit que l'on imagine

    Au passé au présent au futur et qui malgré tout reste invisible ,

    Que l'on béni ou que l'on maudit , que l'on négocie pourtant parfois.

    On donne tu temps on prend du temps on en passe parfois

    Comme s'il ne passait pas asse vite.

    Le sablier du temps , rappelle t'en , est un sablier où le sable n'existe pas

    Le temps comme le vent est invisible sans odeur

    Et pourtant on le sent passer...

    Mais prends en un peu , malgré tout ,un peu de temps !

    Du temps pour vivre...

     

    Le Colporteur §§§©

     

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