-
Par lecolporteurdesmots le 26 Juillet 2018 à 23:27
Je pense la vie comme ;
Une répétition , et le jour de la première
La censure, fait pièce à l'acteur...
Est-il mauvais où bien la pièce elle même.
Je jette les mots comme un paysage
Comme une couleur sortie du pinceau, les mots
M'apparaissent, tels les nouveaux nés
Et alors je cours vers elle,
Vers la grande scène, les projecteurs;
Le texte est pourtant sur mes lèvres
Mais la censure !!...! La censure
Inculte de sa peur ne lève pas le rideau
La vie est une répétition
Chacun joue son rôle son texte
Mais le jour de la générale , la censure........
Le Colporteur §§§©
votre commentaire -
Par lecolporteurdesmots le 26 Juillet 2018 à 22:54
A cette époques là
A ce siècle là
La fierté était de dire ; « j'y étais »
A chaque guerres gagnées
La fierté était de dire ; « j'y étais »
A chaque époques
"Ils" y étaient...
Les époques ont passées
Les guerres se sont renouvelées ...!
En fait rien n'a vraiment changé ?
Pendant ma vie «j'y étais »!
A mon époque ;;; j'y étais :
Dans le monde les guerres étaient toujours là
Toujours d’actualités !!!!!....
J'en conclu , pour ma part
Que , dans les époques futures
Dans les siècles futurs ,
Existera toujours tout cela... .
Et l'humain toujours plus bête qu'animal ,
dira j'y étais ...§§§
Le Colporteur §§§©
s'il veut explorer l'univers qu'il lève la tête et non pas son porte-feuille ((entre autre ou surtout ))
votre commentaire -
Par lecolporteurdesmots le 19 Juillet 2018 à 14:58
De grandes tentures enveloppes mes pensées
Un son harmonique semble onduler dans les plis du tissu
Il résonne en moi sur le chemin de demain
Me portant comme un ruisseau , vers la vérité
La vibration envahi mon ego comme si mon sang devenais le son ,
Mes oreilles n'avaient que ce chant monocorde en écoute .
Envoûtant , fascinant il m'absorbait comme un monstre de nulle part ;
Tout mon être était à son écoute
Je me laissais porter sur ce chant magnétique
Cette source sonore entrait en moi en tourbillons reposants
Je m'abandonnais à cette abstraction irréelle hors du temps
Ces vibrations sonores , sans voix , me donnaient rendez-vous
Me portant vers mes souvenirs , images d’hier...
Comme en suspension je me laisse glisser dans ce monde intemporel
Sans savoir s'il existe un chemin conventionnel de retour
Plus d'attaches ne me retiennent en ce monde , je quitte la table
Et porté par ce son harmonique
Je glisse irréel , vers les Éthers de l'univers de la nuit...
Le Colporteur §§§©
(écrit sous le bienveillant regard du Baladin)
votre commentaire -
Par lecolporteurdesmots le 7 Juillet 2018 à 22:52
abandonné--boite--bruit--oreiller--roseau--voûte--porte--clameur--biscuits--berger nuages de mots Morgane
Comme un nuage il vient de nul part
Comme un voyageur sur le quai d'une gare
Il s'assoit et attend. Il ignore quoi, mais IL attend ...
Comme un espoir abandonné , laissé de côté,
Alors de sa poche, comme d'une boite, il sort un biscuit
Pour tromper le temps de cette attente.
Au loin monte une clameur, qui doucement enfle
Distinctement les flonflons prennent formes sous la voûte des étoiles
Dans le bleu noir, du ciel de nuit
Tel un berger dans les alpages des songes
Il voyages entre ses rêves
Sur sa barque glissant entre les roseaux
Muraille traversée sans bruit par cette silhouette
Comme étouffé par un oreiller, sur lequel sa tête repose
Comme un nuage dans le ciel; sortit de nulle part
Comme un rêve sortis d'un songe...
Je referme la porte de rien derrière moi
Le train s'ébranle et reprend son voyage
Je reste sur le quai à attendre ; attendre quoi...
Je croque mon biscuit
La vie on la croit vivante, remuante
Mais n'est-ce pas une éternelle attente
Où l'on bouge pour faire s'agiter l'attente... ?
Le Colporteur §§§©
votre commentaire -
Par lecolporteurdesmots le 5 Juin 2018 à 23:48
Le sablier du temps ! t'en rappelle -tu !?
Oui celui que tu retournais en cuisine , pour cuire l’œuf
Quand le sable fin du temps était écoulé ; t'en rappelle-tu ?
Et le sable blanc des plages où pieds nus
tu marchais
Laissant derrière toi leurs empreintes , et que la mer d'une vague effaçait
Comme pour dans le temps ne laisser aucuns souvenirs .
Et bien le temps comme la vague efface bien des choses.
Et bien ce sablier du temps , lui , ne se retourne pas , n'en prend pas le temps
N'en a pas le temps n'en a pas le sable
Le temps qui passe ne s'arrête pas , il n'a pas le temps
Pas de temps à perdre , pas de temps à consacrer
Pourtant il a tout le temps pour lui , pour consacrer du temps
Mais le temps passe et ne s'arrête pas .
Le temps ...! cette chose indomptable que rien ne peu freiner,
Que l'homme à voulu fractionner , mais pas arrêter ; ce temps dont on parle ,
Dont on se souvient que l'on vit que l'on imagine
Au passé au présent au futur et qui malgré tout reste invisible ,
Que l'on béni ou que l'on maudit , que l'on négocie pourtant parfois.
On donne tu temps on prend du temps on en passe parfois
Comme s'il ne passait pas asse vite.
Le sablier du temps , rappelle t'en , est un sablier où le sable n'existe pas
Le temps comme le vent est invisible sans odeur
Et pourtant on le sent passer...
Mais prends en un peu , malgré tout ,un peu de temps !
Du temps pour vivre...
Le Colporteur §§§©
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique