• DOnne moi ta main , marchons quelques pas

    RÉgale moi de ta mélodieuse voix ;

    MIgnonne , les notes en croches double

    FArandolerons aux étoiles , semant le trouble ,

    SOlfège que nos cœur déchiffreront à l’unisson 

    LAc , aux eaux turquoises , tes yeux où je me fais poisson

    SIlence de nos lèvres en un baiser tendre 

    DOnne moi ta main , laissons l'Amour nous surprendre 

     

       Le Colporteur §§§©

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  • Les réseaux sociaux

    Ne doivent êtres que mots d'Amours et d'Amitiés

    D'échanges vrais et humains

    Pas d'intelligences artificielles , fades juste 

    Fabriquée par l'homme , donc à son image ,

    Celle , qui nous fait vivre une vie terre à terre

    Sans avenir , que celui de naître ,travailler et mourir...

    Les réseaux d'aujourd'hui n'ont plus rien

    De la bonne idée de leurs naissance...

    Social ; m'est avis ; que l'on s'éloigne de son but

    Les réseaux doivent rester ce que

    La correspondance , son  ancêtre , était ;

    Un lien, entre les humains . 

    Le papier avait ce pouvoir , 

    La description par les mots , des sentiments 

    Des images , des sens , de l’imagination quoi...

    Bref ce n'est que ma vision et de mon utilisation 

    Des réseaux "sociaux"...

     

    Bonne journée...

     

    Le Colporteur §§§©

     

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  • J'ais rencontré le roi mage , sur ces chemin sans fins

    Accompagné de son rat mage , entre ces tombes aux croix de papiers 

    Choisissez la votre ,et mettez , s'il vous en fait plaisir,

    du thym ou une couronne de laurier.

    Bien au-loin , les soldats , d'un dieux de l'imaginaire, 

    Fous de ce dieux , jouent à ce faire la guerre 

    La-bas , ici ou là assis sur leur derrière..

    Et dans la salle-à- manger , où est servi le grand festin

    Les têtes couronnées boivent à grandes rasades le sang des victimes

    Dans ce cloaque de feux de la nuit des temps 

    Les chevaliers de fer aux armures d’étincelles , traverses les champs

    Les yeux vident de lumières

    Juste de passage sur terre...

    Il n'est plus de cortèges comme aux temps anciens

    Le vivant ce veut un nouveau monde qu'il mène vers l'apocalypse , croyant en un demain

    Choisi ton chemin , quel qu'il soit il te mènera à ton destin

    Mais désigne ta place pour creuser ton trou 

    Les chevaliers de feux on lancer leurs montures

    Dans les nébuleuses du temps sans aventures ,

    S'élève alors la poussière sous leurs sabots et roulent les cailloux

    Le roi mage a ouvert les rideaux de l'immensité sidérale

    Le rat mage se laisse aspiré dans ce vide abyssal

    Dans le trou de l'inconnu , dans un maelstrom 

    incontrôlable

    La fin de l'humanité disparaît sans traces , aucunes même pitoyable...

     

    Le Colporteur §§§© 

     

     

     

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  • Le sablier du temps ! t'en rappelle -tu !?

    Oui celui que tu retournais en cuisine , pour cuire l’œuf

    Quand le sable fin du temps était écoulé ; t'en rappelle-tu ?

    Et le sable blanc des plages où pieds nus 

    tu marchais

    Laissant derrière toi leurs empreintes , et que la mer d'une vague effaçait

    Comme pour dans le temps ne laisser aucuns souvenirs .

    Et bien le temps comme la vague efface bien des choses.

    Et bien ce sablier du temps , lui , ne se retourne pas , n'en prend pas le temps

    N'en a pas le temps n'en a pas le sable

    Le temps qui passe ne s'arrête pas  , il n'a pas le temps

    Pas de temps à perdre , pas de temps à consacrer

    Pourtant il a tout le temps pour lui , pour consacrer du temps

    Mais le temps passe et ne s'arrête pas .

    Le temps ...! cette chose indomptable que rien ne peu freiner,

    Que l'homme à voulu fractionner , mais pas arrêter ; ce temps dont on parle ,

    Dont on se souvient que l'on vit que l'on imagine

    Au passé au présent au futur et qui malgré tout reste invisible ,

    Que l'on béni ou que l'on maudit , que l'on négocie pourtant parfois.

    On donne tu temps on prend du temps on en passe parfois

    Comme s'il ne passait pas asse vite.

    Le sablier du temps , rappelle t'en , est un sablier où le sable n'existe pas

    Le temps comme le vent est invisible sans odeur

    Et pourtant on le sent passer...

    Mais prends en un peu , malgré tout ,un peu de temps !

    Du temps pour vivre...

     

    Le Colporteur §§§©

     

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  • Comme ça !...

    Oui je l'ais vue comme ça

    comme un arbre abattu , inerte.

    Dans ses yeux ! ...

    Plus rien ; le feuillage de la vie avait effasser ses couleurs

    Je voyais devant moi tout ce en quoi j'avais crus 

    Tout ce quelle avait construit dans mes yeux, mon cœur

    Et tout cela , comme le mur d'un mauvais maçon venait de s'écrouler de s'anéantir... 

    Le mensonge avait été toute ma vie , l'engrais ,

    quelle me voulait tant beau et fort...

    Et là devant mes yeux devant moi ce trouvait

    la plus belle artiste du monde

    La plus merveilleuse des créatures que la nature ait pu imaginer...

    Soit ; le tableau venait de se déchirer

    Me laissant voir l'horreur de la vie...

    Elle avait , dans ses yeux , perdue la verdure de se beau feuillage d'Amour

    Bien des couleurs en mon cœur ce sont fanées

    Mais pour mes descendants je referais les mélanges

    Pour ne leurs montrer que les beaux feuillages que toi

    Maman , à su peindre dans mes yeux...

     

    Je t'ais vue comme ça et te voir comme ça

    En moi quelque chose c'est brisé... Maman 

     

    Le Colporteur §§§©

     

     

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