• Au comptoir de mes rêves,Il y a toujours du monde,

    Il y a pleins de bouteilles, aucun bouchons

    Aucune modération

    Chacun consomme à sa convenance.

    Il y a les rêveurs chroniques, les doux rêveurs aux rêves roses

    Les rêveurs violents et leurs cauchemars,

    Il y a ceux qui rêvent de pouvoir dormir

    Il y a ceux qui parlent en rêvant

    Il y a ceux qui rêvent de mourir, et ce réveillent en hurlant.

     

    Au comptoir de mes rêves il y a toujours du monde.

    Au comptoir de mes rêves, un soir...

    Un rêve est passé,

    Il a essuyé les  larmes de mes soupirs

    Il a serré mes yeux et mon cœur contre le sien

    J'ai, depuis, rêvé aux étoiles dans une robe blanche

     

    Au comptoir de mes rêves Il y a toujours du monde

    Il y a ...même des rêves au comptoir de mes rêves

    Des rêves de ceux qui sont devenus des rêves.

     

    Au comptoir de mes rêves

    Y passent qui veux, y restent qui je veux

    Les habitués sont ceux que j'aime

    Au comptoir de mes rêves je suis mon patron

    Si tu Aime le rêve tu es le bienvenu

    Si tu es le rêve d'un soir tu peux passer

    Et peut-être, devenir un habitué ...

    ...

    Mais faut pas rêver,

    Ce n'est qu'un rêve ...

     

    Au comptoir des rêves je suis toujours à ses côtés, rêveur éveillé ...

     

     

    Le Colporteur §§§

    .

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Dans notre chaumière il fait bon vivre,

    Au printemps, et bien c'est le printemps.

    Quand vient l'été, le soleil reste devant la porte,

    Fenêtres et volets sont fermés,

    Pensez ce que vous voulez

    nous on reste au frais, ou alors bien enlacés...

     

    Dans notre chaumière il fait bon vivre...

     

    Quand viens l'automne aux couleurs mordorées

    Et que le bois est rentré,

    châtaignes et champignons ramassés,

    La table est dressée, la soupe mijotée,

    Alors à la douceur de l'âtre,

    à la danse chaloupée de la flamme

    On peut ouvrir ce vin nouveau

    Et en toute Amitié et convivialité

    La soirée peut s’écouler, jusqu'au bout de l'hiver.

     

    Dans notre chaumière il fait bon vivre,

     

    Dans ma chaumière la vrai douceur, dans l'âtre de mon cœur,

    C'est la maîtresse de maison,où danse dans ses yeux,

    la flamme du bonheur.

     

    Dans notre chaumière il fait bon vivre.

     

     Le Colporteur §§§

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Dans le magasin de mon cœur

    Je suis allé dans l'arrière boutique;

    J’y ai trouvé, sous un voile de poussière,

    Des sachets de berlingots souvenirs

    aux couleurs multiples;...

    Des bouteilles à la mer, remplies de messages

    de ma jeunesse;...

    J'ai poussé la porte, qui donne dans l'arrière cour 

    La lumière était douce et dans l'air

    montait un murmure,

    C'était les rires de ma jeunesse,

    En cœur avec les voix de mes Amours passés,

    Amies, Amis et parents;

    Alors je suis retourné dans la boutique de mon cœur,

    J'ai fermé la porte, baisser le rideau 

    Repris la rue vers demain au bras  de l'avenir...

     

    Je n'ai pas jeter la clef, des fois que...

     

    Dans la boutique de nos cœur il y a

    Des sachets de berlingots

    aux goûts de souvenirs.

     

     

    Le Colporteur §§§ 

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Tu n’a plus la taille de guêpe de tes vingt ans,
    Et moi je suis un bourdon bedonnant,
    Mais tu es toujours ma petite fleur Aimée
    Que jamais je n’ai cessé de butiner.
    Quand tu me prends
    Dans la corolle de ton corps
    Mon âme se rend
    L’Amour est là encor.
    Les années ont passées, bien trop vite,
    Et voilà déjà les petites rides, sillons du temps
    Des soucis que tu chasse, promptement.
    Pour le reste de notre futur je t’invite
    Veux-tu partager ce ciel
    Au goût et à la couleur de miel …
     
    Le Colporteur §§§ ©
     
     
    05/2015
    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Je n’ai pas la verve d'un tribun élu de la plèbe

    Et loin de moi une éloquence de style Cicéronien

    Ni la faconde méridionale

    Je délire et dérive sur les rives de la nuit,

    Sur sa barque étoilée aux gré de sa vague bleutée,

    Je t'enivre de ses rêves jusqu’au petit matin.

    Assis sur le banc de nos sentiments

    Nous jaboterons de nos silences de connivences

    Que nos cœurs d'un regard savent.

    Et puis, quand l'aube poindra,

    Dans la barque étoilée à nos place reprisent

    Nous enlacerons nos corps,

    Et dans la lumière du jour nous embraserons les éthers

    De notre Amour...

     

    Je n'ai pas la verve d'un tribun

    Encore moins la rhétorique d'un politicien 

     

    Juste mes mots simples à moi pour te dire

    Je t'Aime...§§§

     

    Le Colporteur §§§

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire