-
Viens t'asseoir près de moi, sur le banc de mes rêves
Le silence de nos mots bercera notre sommeil
Il résonne dans ma tête comme un bruit de bottes
Tombe la nuit comme la neige dans le désert, ferme les yeux
Tu entendra les flocon sur le sable faire un bonhomme de poussière
Viens t’asseoir près de moi; sur le banc de mes rêves.
On regardera les caravanes passer ...
Les étoiles dans le bleu de la nuit ferons feu de leurs artifices
Le silence de nos mots entonnera le chants des poètes, ceux qui rêves
Les pieds enraciner. Ceux qui par les siècles ont sue faire rêver sans bruits,
Qui Aiment avec leurs yeux et leurs coeurs...
Viens t’asseoir près de moi, sur le banc de mes rêves;
Il y a toujours de la place , surtout si tu parle dans les yeux du coeur.
Sur le banc de mes rêves , quand tu veux tu te réveille ta place reste libre...
Libre comme le vent des rêves
Ni dieux ni maîtres §§§ Libre_____§§§
le Colporteur §§§©
votre commentaire -
Je vais à la lune, dessiner le sourire ;
Le sourire de tes rêves et dans tes bras m’endormir,
Pour que le matin dans ses draps de brumes
Dessine l'esquisse de ton sourire au matin d'automne,
Pour que tel un soleil d'été , aux couleurs mordorée, il rayonne ...
Taches de rousseur du ciel les étoiles me font des clins d'oeil
Refermant la nuit et mes cauchemars comme dans un linceul
Laissant éclater la lumière du jour au visage du monde
Ou ton sourire sera un métronome,
Guidant mes pas, comme une valse , comme une ronde
Faire à la mort un bras d'honneur chanter avec toi en choeur
L'hymne à la vie, l'hymne à l'Amour, l'hymne du Bonheur...
Même si cela est le dernier chant de mon coeur
De mes yeux dans ton regard
J'emporterais ton sourire
Pour qu'il soit dans les éther éternel
Mon compagnon.....
Le Colporteur §§§©
votre commentaire -
Il se fait des lits, insipides, à mémoires de formes
Soit . Moi je préfère découvrir tes formes ,sans habits
Défaits, froisser, jeter aux hasards , aux pieds du lit
Et n'avoir en mémoire que nos corps enlacés, unique forme
De n'être connecté qu'avec ton coeur
Avoir comme écran le bleu de tes yeux,
Laisser sur le clavier de ton corps mes doigts amoureux
Te jouer la mélodie aux refrains enjôleurs
Ta carte mémoire est le coeur de mon ordinateur
Inutile d'ouvrir d'autre fenêtres,
Dans ta boîte à courriel est arriver ma lettre
Entre nous pas de mots de passe
Ma mémoire de tes formes est aux bout de mes doigts
Dans le grand lit de l'espace .
Il se fait des lits, insipides, à mémoires de formes
Qui bien souvent n'ont en mémoires que la forme
Des corps de couples qui se déforment...
Il se fait des lits, insipides, à mémoires de formes
Soit. Moi je préfère découvrir tes formes sans habits
Défaits, froisser, jeter au hasards,aux pieds du lit...
Le Colporteur §§§©
votre commentaire -
Mon coeur s"alangui à regarder ...
Le tournesol baisse la tête , perdu .
Ses feuilles comme les bras d'un pendu
Tombent vers le sol . Le soleil n'est pas venu
Les gouttes de pluie , tel des larmes roulent
Et perlent sur ses pétales , comme sur les joues
De l'Amoureux éconduit.
Sa fleur soleil est toute racornie
Le tournesol baisse la tête aujourd'hui
Son coeur , couleur d'or , se lasse de battre et se langui .
Tel le ruisseau qui ne reverra jamais l'eau qui s'enfuie
votre commentaire -
Une étoile est née , mon Ami ,
Et tu te doute bien où ,
Tu me connais si bien et depuis si longtemps .
Tu m'accompagner bien souvent dans mes promenades,
Bien que je ne tenais pas bien haut
Les discutions ; Mais cela te plaisais
Et nombreux étaient nos jours à deux.
Nous parlions le même silence , nous étions en harmonie
Avec la même nature . Cette nature avec ses bruits
Ses senteurs ses rencontres furtives, aux hasards
D'un lapin , d'un groupe de chevreuils
De sangliers , parfois ;
Et puis cette rencontre , improbable ,
Et puis elle eu lieu...
Tu étais mon Ami , cet Ami
De nos balades où le silence était de mise
Nos phrases n'étaient ponctuées
Que de silences , aux regards, pourtant tellement
Expressif à nos yeux ,
Que bien des gens nous pensaient fâcher...
Quand nos bras s'étreignirent ,nos coeurs
Battaient la chamade ; nos yeux se sont embrumer de larmes
La vie venait de nous mettre sur des chemins
Différents ; L'Amour m'avait croisé...
L'Amitié , grande dame c'est mise en retrait,
Comme une mère, à qui un charmant vient
Demander la main de sa fille .
Comme telle, mon Ami tu t'ais effacé
Devant cet inconnu , mais ton coeur
Toujours grand ouvert......
Une étoile est née mon Ami,
Dans le grand théâtre de la vie
Sous la bienveillance de l'Amitié.
Quand l'Amour subtilise l'Amitié
L'Amitié fidèle , ni rancunière
N'est jamais bien loin....
Le Colporteur §§§©
votre commentaire