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Tu étais venu ici en vacances chercher un îlot de paix
Et tu as eu le coup de foudre.... "Roche"...
Et tu as posé ton sac de "marin baroudeur"...,
"Roche" était devenu ton île paradisiaque
Et toi , le Robinson Crusoé , volontaire
Avec Jocelyne , ton "Vendredi" du coeur .
Tu aimeras à y recevoir ta "tribu" ,
Et ce repaire devenais aux vacances
Le chantier de notre jeunesse...
Après des années de durs labeurs
Et ces vacances de chantiers
Ce devait devenir notre île à nous aussi
Notre repaire , paradis d'été...
La tribu aimait à si prélasser s'y délecter de repos .
Si tes pieds ont quitter ta terre natale
Tes racines te sont restaient au coeur,
Et bien souvent tu y revenais
Retrouvant tes enfants adorés
Et puis ma douce vous a rencontrait
Devenant jours après jours
Nos papy mamie de coeur...
J'aimais à t'entendre souvent raconter ton "pays"
Ébloui que j'étais par ce partage , cette complicité de sentiments
Preuve m'en est donnée avec la volonté que tu mettais pour que je te tutoie
Et mes reprise chaque fois où je laissais le "monsieur"
reprendre sa place dans nos discutions
Le Colporteur §§§©
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L'écriture n'est pas l'apanage de certains élus
Il est celui de ceux qui ont le coeur sur la main
Qui peignent les lettres pour dessiner des mots...
Leurs pinceaux !! ... Leur plume
Qu'ils trempent dans l'encre des larmes du coeur
A la lueur d'un clair de lune quand la chandelle est morte
Pour faire voir aux yeux des autres
Le merveilleux tableau de la vie
Et réussir à faire chanter le monde
Sur les notes , lettres écrites sur les portée des lignes du cahier
Mais bien trop dans ce monde ne savent pas lire
N'ont pas l'oreille en musique , l’œil émerveillé ;
Ils n'ont en tête le bruit sourd des bombes...
Dans les oreilles ? Le chant des balles et le chœur des agonisants
Beaucoup trop on dans le coeur la haine des autres
Ne connaissent pas l'odeur de la terre labourée...
Ignorant jusqu'à la fin programmée d'une terre à l'agonie .
En cause ? La boulimie de l'argent des marchands de rêves , d'armes
Et autres activités lucratives et nocives ...
L'écriture même est en péril , elle n'a plus sa place ;
La douce musique des mots poésies
Devra bientôt entrer en clandestinité
Elle deviendra l'apanage et oui , de certains riches.
Encore et toujours l'argent....
Le Colporteur §§§©
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Le silence du sommeil à une saveur de miel
Des abeilles virevoltent aux portes de la ruche des songes
Le propolis des rêves, comme un onguent
Soulage les corps et les cœurs meurtris par le jour passé
Comme un remmouleur aiguise les tranchants émoussés.
La nuit écoute , répare , repose les corps fatigués
La nuit nous chante des comptines aux douces paroles
Elle nous fait souvent défiler des images aux différentes couleurs
Des odeurs aux effluvent suaves semblants réelles
Parfois des cauchemars jaloux , s’immiscent parmi ces images
Chassés vivement d'un réveil salvateur...
Les rêves reprennent leurs cours , ou démarrent un nouvel épisode,
Au pire le sommeil baisse les bras
Et nous fait un réveil plus prompt ...
Voila , un petit épisode nocturne
Nos voix peuvent retrouver leurs volumes ;
Mais on parle .. parle mais de nouveau
Il est l'heure de retrouver nos rêve pour ;
Reprendre où on les a interrompue , ou commencer un nouvel épisode .
Le Colporteur §§§©
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Dans la serrure de la nuit
J'ais glissé la clé du sommeil
Doucement ,sans bruit , je l'ais tournée
Comme les aiguilles du réveil ...
Sur les gonds des étoiles
La porte des songes , aux rouages silencieux ,
C'est alors ouverte à l'univers des rêves...
Le sommeil sur un tulle, vaporeux tapis volant,
M'a emporter par-delà le pays des songes........
J'y ais croisé des êtres ! des êtr..tre RRRR...!
Chuuutt !....
Je vous raconterais ...« Bonne Nuit »...
Le Colporteur §§§©
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Je l'ais posée là comme on pose un bouquet
Je l'Aimai pourtant ,
Et depuis si longtemps !... ;
Depuis si longtemps que les racines de mon cœur ,
C'étaient , dans la terre de ton corps ,
Greffées ...
Je n'étais pas fait pour être jardinier
Mais tu m'as offert ton jardin
Patiente tu le fus ; je n'y croyais pas...
Dans le grand potager de la vie
Les fruits que tu as donnée ont grandis ;
A notre tour de profiter des fruits de leur jardin ;
Dans ce jardin qui résonne encore de leurs présences...
Ainsi va le potager de la vie
Aux grès des jardiniers
Aux grès de nouvelles saisons...
Le Colporteur §§§©
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